Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
ViveLavis - Annie Subra, Artiste peintre
Visiteurs
Depuis la création 60 832
Publicité
Newsletter
10 abonnés

vivelavis_qr code

30 octobre 2009

59 - Playa del Duque (Octobre 2009)

59 - Playa del Duque_Octobre 2009

 

Dimension : 40,6 x 30,5 cm - Aquarelle

A vendre

La plage del Duque à Adeje (Ténérife).
Une plage où j'aime me détendre, me faire masser, nager et jouer dans les vagues lorsque la mer de fond pointe le bout de son nez.

Publicité
Publicité
28 octobre 2009

58 - Port de pêche de Puerto de la Cruz à Ténérife (Octobre 2009)

 

58 - Port de pêche de Puerto de la Cruz_Octobre 2009

 

Dimension : 40,6 x 30,5 cm - Aquarelle

A vendre

Trois bateaux de pêcheurs au lever du soleil amarrés dans le port de Puerto de la Cruz à Ténérife.

Le petit port de pêche a gardé tout son charme, c'est l'un des plus beaux endroits de Puerto.

25 octobre 2009

57 - Baptême de plongée (Octobre 2009)

57 - Baptême de plongée_Octobre 2009

Dimension : 30 x 24 cm - Aquarelle

Collection : Privé

Un clin d'oeil à mon fils Nicolas, en souvenir de son baptême de plongée en juillet 2007 sur le site de Maravilla à Las Galletas (Ténérife).

22 octobre 2009

56 - La Orotava et les balcons canariens (Octobre 2009)

56 - La Orotava_Octobre 2009

 

Dimension : 30,5 x 40,6 cm - Aquarelle

A vendre

La Orotava est une ville qui se situe au nord de l'île de Ténérife, au pied du parc national du Teide, en surplomb de l'océan Atlantique. Elle connut plusieurs ères de prospérité avec la culture de la canne à sucre (16e siècle), de la vigne (17e siècle), l'élevage de la cochenille (19e siècle) puis la culture de la banane.

La richesse et la beauté de La Orotava l'ont fait reconnaître "ensemble historique artistique" par le Gouvernement espagnol et la ville a été inscrite à "l'inventaire de protection du patrimoine culturel européen".

19 octobre 2009

55 - Azalée devant l'île de La Gomera (Octobre 2009)

 

55 - Azalée_Octobre 2009

 

Dimension : 40,6 x 30,5 cm - Aquarelle

A vendre

Une composition ayant pour thème 3 passions :
- les fleurs pour leur parfum délicat
- la mer pour la plongée sous-marine
- l'île de La Gomera (archipel des Canaries) pour un endroit du monde cher à mon coeur

Je dédie cette aquarelle à mon ami plongeur Khim.

Une vidéo sur l'île de La Gomera : http://crazymotion.net/la-gomera/wixgVxaKW9kUjAy.html

Publicité
Publicité
17 octobre 2009

54 - Orchidée (Octobre 2009)

54 - Orchidée_Octobre 2009

 

Dimension : 42 x 29,7 cm - Aquarelle

A vendre

D'après une orchidée qui m'a été offerte par mes amis coachs pour mon anniversaire, l'année dernière.
Je dédie comme promis cette aquarelle à deux amies : Anne-Marie et Nathalie

14 octobre 2009

Sur la pointe des pieds !!!…

L’atelier virtuel d’écriture Ted et Eux. Le premier thème est lancé par son créateur ; parler d’un objet qui nous est familier.

Je ne pensais pas participer à ce premier thème. La vie m’a donné un p’tit coup de pouce ou plutôt un p’tit coup d’épaule.

En raison d’un problème de santé avec une capsulite rétractile, je suis obligée de rester au repos chez moi. Ma chambre est donc l’environnement qui me tient compagnie depuis quelques jours avec ses objets qui la décore. Est-ce le fait de devoir rester au repos qui me fait me focaliser sur un objet en particulier ? Un objet qui me rappelle à la fois la mobilité et la souffrance. Un objet qui est là, accroché au mur, à côté de mon lit et qui ne m’a pas quitté depuis ma tendre enfance.

Je fixe ces deux formes reliées entre elles par leur ruban de satin rose. Il s’agit de mes chaussons de danse classique, mes pointes.

Mon regard se centre sur eux, et le traitement codéiné aidant, mon esprit s’évade et fait défiler une à une les images et sons de l’ensemble de mon parcours de danseuse de l’âge de 6 à 33 ans.

Petite blondinette, j’aimais retrouver mon papa à son entreprise tous les soirs à la sortie de l’école. Une entreprise de menuiserie dans laquelle une cinquantaine de compagnons s’activaient autour des établis. J’adorais sentir l’odeur de la sciure de bois, jouer avec les copeaux, entendre le bruit des ciseaux à bois et les rires des compagnons. A côté de l’entreprise se trouvait un club de sport, proposant diverses activités : gymnastique, judo, aïkido, kendo, danse,…

Ayant des problèmes de dos, mon père s’inscrivit dans ce club dans le but de faire de la gymnastique. Et comme toutes les petites filles, j’adorais être le plus souvent possible avec mon papa. Donc me voici partie avec lui, non pas pour faire de la gymnastique mais de la danse classique.

Je me revois essayer ma première tenue « Repetto » couleur rose dragée : le tutu, les collants, les demi-pointes. Je n’avais pas encore débuté mon premier cours, que je défilais droite et fière à la maison avec ma tenue de danseuse et m’imaginais sous les toits de l’opéra de Paris parmi l’ensemble de la troupe des p’tits rats. Je ne savais pas à cette époque que la danse allait m’accompagner durant toutes ces années. La danse classique fut ma complice durant mes 12 premières années de danseuse. Complice qui m’appris l’écoute, le respect, la rigueur, la droiture, l’humilité.

12 années au cours desquelles je me rendais deux fois par semaine à mon cours de danse. Arrivée dans la salle, j’y retrouvais mes copines, mon professeur et notre pianiste qui rythmait nos cours de sa mélodieuse musique classique. Il m’arrivait de temps en temps de fermer les yeux quelques secondes et imaginer mon père nous accompagner au piano. Il jouait très bien et j’aimais l’écouter et le regarder jouer du Bach, Chopin, Beethoven à la maison. Ce n’était qu’un rêve puisque pendant ce temps, lui s’appliquait à exécuter ses exercices de gymnastique consciencieusement.

Après deux années de travail intensif avec l’apprentissage à la barre du port de bras, de l’attitude, de la souplesse du corps puis des pas de base et de son terrible grand écart, j’étais toute excitée à l’idée de pouvoir enfin chausser les pointes. Je me rappelle notre professeur nous demander de commander nos pointes à l’issue d’un défilé en saut de chat. Je regardais à ce moment mes pieds et tel dans un conte de fée, je sentais mes demi-pointes s’endurcir et voyais un ruban de satin enlacé mes chevilles.

J’allais enfin pouvoir me tenir sur la pointe des pieds!!!...

Etre légère et faire des bonds telle une biche à l’orée du bois. Cette image ne m’était pas venue par hasard à l’esprit puisque la photo d’un bois décorait le mur de notre salle de danse. Etait-ce pour faire joli tout simplement ou nous suggérer la légèreté dans nos déplacements ou les deux ? Il est vrai que lorsque nous faisions trop de bruit, notre professeur nous reprenait par des : « Mesdemoiselles, voyons !!!... ». Tout de suite, nos déplacements devenaient aussi légers qu’une plume. C’était une belle femme mais impressionnante avec son bâton de bois dans la main. Bâton qui lui servait à accompagner la pianiste et rythmer nos pas, là où nous devions les accentuer.

 

Cours_de_danse

 

Je ne savais pas au début à quel prix je devais payer ce sentiment de légèreté et les souffrances que j’allais devoir endurer.

Pour pouvoir se tenir sur la pointe des pieds, la plate-forme, c’est-à-dire la partie avant du chausson est dure, dure comme du bois et demande à la danseuse de donner une forte impulsion sur le talon. Je réentends mon professeur nous ordonner : « Poussez, levez, … poussez, levez ! »

Je vous laisse, au travers de cette vidéo, découvrir la fabrication des pointes : La fabrication des pointes

Tout en regardant cette vidéo, j’observe les miens, accrochés au mur. La belle couleur de satin rose a passé avec le temps et est plutôt couleur gris-rose. La plate-forme quant à elle est usée, usée par les entraînements et différents ballets. Je décide de les prendre en main. Cela fait un moment que je n’ai pas touché à mes chaussons. Je redécouvre le toucher soyeux du satin et observe à l’intérieur quelques traces de sang. Je me rappelle… comme j’ai pu saigner des pieds au début. J’avais beau mettre du coton à l’intérieur du chausson pour adoucir le choc entre la dureté du pavé et le bout de mes doigts de pieds. Cela ne faisait pas grand-chose et celui qui a le plus souffert est le gros orteil.

Pour calmer et atténuer la douleur, rien ne vaut la pratique ! Tel le jeune guitariste pinçant les cordes de sa guitare pour la première fois et terminant son cours avec des ampoules sur les doigts. Les doigts de sa main doivent s’habituer à la dureté des cordes comme les doigts de pieds de la danseuse à la dureté du pavé.

Toute cette souffrance est oubliée le jour du premier ballet. Ballet qui avait pour thème les quatre saisons. J’incarnais le printemps, vêtue de mon tutu rose et de son grand voile de tulle, mes pointes roses et un voile de tulle vert accroché à mes mains à l’aide de deux anneaux. Deux anneaux transparents de rideaux que ma mère avait pris dans sa boite de couture. Nous étions là, toute la troupe, à défiler au grès de la musique et évoquer aux spectateurs les sensations des différentes saisons. Une fois sur la scène, les pas sont emportés par la musique et les applaudissements.

Un instant de pur bonheur!...

Après douze années de danse classique, j’éprouvais le besoin de découvrir autre chose.

Ce besoin m’a été suggéré par mon professeur de gymnastique du lycée Buffon à Paris dans lequel j’étais. Un jour elle fit venir un grand percussionniste et danseur qui donnait à l’époque des cours de danse africaine à l’école américaine de danse. Il s’agit de GUEM.

Je vous laisse écouter ce morceau que vous avez certainement déjà entendu à plusieurs reprises et qui nous servait de tempo pour nos entraînements : GUEM : Le serpent

Je suivis juste quelques cours, Guem n’étant venu que peu de fois au lycée. Mais le peu de cours suivis, m’apprirent à repenser ma manière de danser. Fini les pointes, les chaussons. La danse africaine se danse pieds nus.

Je découvris l’art d’écouter, de chanter et danser sur le son des percussions. Il est vrai qu’il est beaucoup plus facile de vivre la musique à partir du moment où il nous est possible de la chanter. Chanter sur le son des percussions via des « Doudoum !... Tam !... Doudoum !... DoumTam !...»
Guem nous enseigna ceci ainsi que la manière de dissocier les différentes parties de notre corps. Apprendre à bouger séparément la tête, les épaules, le torse, le bassin, les jambes et peu à peu réassembler chacune de ces parties pour en former un déplacement harmonieux.

Le BAC en poche, fini le lycée, fini Guem.

Je ne souhaitais pas arrêter la danse et ai donc poursuivis mon apprentissage. Je fis un peu de danse moderne puis de la modern jazz. Mais le son des percussions me manquait et ai donc renoué avec la danse africaine jusqu’à l’âge de 33 ans. Date à laquelle j’ai arrêté la danse pour m’occuper de mes enfants.

Après une interruption de 15 années, je souhaite aujourd’hui non pas rechausser mes pointes mais de nouvelles chaussures, celles qui me permettront de vibrer sur le rythme de la salsa, synonyme de complicité et sensualité.

Danse avec les pieds, avec les idées, avec les mots, et dois-je aussi ajouter que l'on doit être capable de danser avec la plume ? [Friedrich Nietzsche] … Au prochain thème Thierry J

 

Cours_de_danse_1

Article dans son contexte du blog "Atelier d'écriture virtuel Ted et Eux" : http://tde.typepad.com/thierry_do_blog/pointe-des-pieds.html

 

4 octobre 2009

Un nouveau slogan publicitaire pour Orange

Mardi 17 mars 2009...

Comme tous les matins, j'allume mon pc pour lire et envoyer mes mails tout en buvant mon café.
Je clique sur l'icône d'internet explorer et ne vois pas la page d'accueil d'Orange s'afficher.
Je jette un coup d'oeil sur ma live box et constate que le voyant lumineux de la connexion internet clignote.

Ce n'est pas la 1ère fois qu'elle me joue ce coup là et connais par coeur la manipulation à effectuer.
Une procédure annoncée aux clients d'Orange, à l'issue d'une minute d'appel téléphonique sur le 3900, sous forme de questionnement et dans laquelle une voix féminine vous dit : "Avez-vous pensé à débrancher et rebrancher votre livebox électriquement ?"
Je débranche et rebranche donc ma livebox tel un automate, en me réjouissant de pouvoir enfin lire et envoyer mes mails.


Et là, déception!...

Cette maudite livebox ne veut rien savoir. Elle clignote, clignote et reclignote tel un sapin de Noël.
Je tape alors l'adresse IP de ma livebox sur mon clavier, arrive sur la page d'accueil qui m'indique : Réseau indisponible (Pas de serveur PPP)"

De nouveau, déception!...


Je dois me résigner d'appeler le service client d'Orange.
Me voici partie dans les dédales du 3900, un pur moment de bonheur en perspective...

Une petite précision mais non des moindres, concernant la tarification du 3900. L'appel est facturé désormais au coût d'une communication locale si j'appelle depuis le service de téléphonie par internet (Zut loupé!, ma connexion ne fonctionne pas et ce service est donc KO) ou si j'appelle depuis une ligne fixe France Télécom hors forfait (je remercie à ce moment ma p'tite voix intérieure qui m'a conseillé de ne pas regrouper ma ligne fixe France Télécom avec ma ligne téléphonique par internet,le jour où j'ai décidé de bénéficier du service de téléphonie illimité proposé par Orange)
Mon appel me sera donc facturé au prix d'une communication locale France Télécom ... ouf!!!

Passée la barrière des différents choix à sélectionner, je tombe sur une jeune femme à qui j’explique l’objet de ma réclamation. « Ma livebox m’indique que le réseau est indisponible. Je vous remercie de faire le nécessaire pour rétablir ma connexion internet ».

Après avoir effectué la vérification d’identité d’usage, elle me demande de débrancher, rebrancher ma livebox, d’aller ensuite sur le site d’accueil de celle-ci pour vérifier ce que je lui disais et me répond au bout de 20 minutes : Je transmets votre dossier au service technique. Votre ligne va être mise sous surveillance pendant 72 heures et un technicien vous recontactera à l’issue de ce délai. Orange met tout en œuvre pour rétablir votre connexion » .

Je n’en crois pas mes oreilles !!!

Où sont les valeurs d’Orange Simplicité – Proximité - Dynamisme dans les propos que je viens d’entendre ?

Voyant l’heure tourner, dépitée je conclue la conversation et pars au travail après avoir bu mon café froid.

Dans mon bureau, une phrase de mon prof de coaching me vient à l’esprit : « Connaissez-vous le syndrome de l’œuf au bacon ? » .
Cette phrase m’est-elle venue à l’esprit en raison de l’heure du déjeuner qui approchait ? Je ne me suis pas posée la question. Quoiqu’il en soit, je me remémore sa réponse : « La poule s’implique, le porc s’engage » .

Agir ou subir, il faut choisir

Je décide d’agir…

De retour chez moi pour le déjeuner, je recompose le 3900 dans le but de contacter le service commercial.
Je refranchis les barrières des différents choix et entends la voix agréable d’un homme.
Je lui raconte ma conversation de la matinée, le délai d’attente imposé de 72 heures et le problème de déconnexions répétées de ma livebox.
Je lui parle alors des valeurs d’Orange et lui explique que les valeurs sont les dogmes de l’entreprise. Que le plus important n’est pas d’afficher tout simplement quelques valeurs dans un but marketing mais que ces valeurs soient bel et bien le reflet de l’entreprise et qu’elles résistent au temps.
La confiance se confronte au doute, à la méfiance.
La confiance ne se décrète pas, elle s’instaure par nos actes au quotidien.
En un mot, elle se vit ...

Je propose à ce moment un p’tit jeu à mon interlocuteur. Je lui demande d’accepter d’inverser nos rôles. C’est lui salarié d’Orange qui m’appelle pour résoudre un problème de règlement par prélèvement de ma dernière facture.
Je déroule une mise en situation basée sur 3 de leurs 5 valeurs affichées en les utilisant dans l’ordre suivant :

    1. Simplicité
    2. Transparence 
    3. Audace

Au fur et à mesure de l’avancée de mon exposé, j’entends mon interlocuteur sourire.
Pour conclure mon discours, je lui soumets une idée de slogan publicitaire illustrant parfaitement à l’instant même l’argumentaire d’Orange quant à la valeur Audace (Nous osons penser et agir differemment. Nous questionnons les situations avec pertinence et regardons loin devant. Nous donnons de la couleur à nos façons de faire) … et lui propose cette phrase :

« Avec Orange, vous voyez Rouge »

Cet agent commercial éclate de rire. Il m’annonce ensuite m’offrir ma connexion internet du mois de mars pour me dédommager du préjudice subit (Yessssss !!!, plus de 30 euros de gagnés) et me demande de patienter un instant.
Une minute plus tard, il m’indique avoir fait le nécessaire et s’engage à ce que ma connexion soit rétablit pour 15h30 au plus tard ce même jour et me souhaite une excellente fin de journée avec le sourire.

Etant joueuse et créative, j’en ai profité pour créer une affiche publicitaire de cette aventure.

 

[Annie Subra]

 

Orange

4 octobre 2009

53 - Fleur d'hibiscus (Octobre 2009)

53 - Hibiscus_Octobre 2009

 

Dimension : 30 x 24 cm - Aquarelle

A vendre

Une fleur d'hibiscus couleur orangée pour rappeler la plage de Bahia del Duque à mon amie Jeanne.

Publicité
Publicité
Publicité